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This “party first” system, requiring more eloquence and skills in oratory than anything else, has put our parliaments at the mercy of lawyers, who have always had a disproportionate influence, when what was needed above all were men experienced in the life and work of the great industrial classes.

— Adrien Arcand, Exposé of Principles and Program of the National Social Christian Party (1934)
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17-e

 

Exposé
Principes et Programme

Exposé
Principles and Program

tente.  Si même on remonte à plusieurs siècles, on s’aperçoit que les tribus des Normands, des Celtes, des Angles, des Francs, des Germains, des Vikings, etc., qui ont formé plus tard les nations nord-européennes, étaient issues d’un stock commun dont nous descendons tous.

If you go back several centuries, you’ll find that the tribes of Normans, Celts, Angles, Franks, Germans, Vikings, etc., who later formed the northern European nations, were descended from a common stock from which we are all descended.

Puisque, avec la création d’une citoyenneté, le Canada doit s’engager dans ses destinées véritables, il importe de poser quelques questions.  Le Canada devra-t-il être, dans l’avenir, un pays de jaunes, de noirs, de sémites, de croisement abâtardis, ou devra-t-il être un pays de race blanche ?  Je crois que la réponse ne fait aucun doute dans l’esprit de tout Canadien authentique.  Il ne s’agit pas, en principe, de déclarer inférieure une race qui n’est pas blanche, mais simplement d’avenir national et de protection de la race nationale.  Nous concevons et admettons qu’un Canadien ne puisse ni ne doive devenir maire de Tokio, ou chef d’un tribu de Zoulous, ou premier ministre de la Palestine, ou même que, comme Canadien, il ait le loisir d’annuler le vote d’un turc en Turquie.  Le Juif reste opiniâtrement juif, et pourtant nous le laissons avoir voix délibérante dans nos conseils nationaux ; le nègre, même s’il veut s’assimiler, n’en reste pas moins nègre, et le fait qu’un nègre pourrait, par des moyens extraordinaires, devenir maire de Montréal ou Toronto, n’en serait pas moins un fait contre nature, au point de vue national.

Since, with the creation of a citizenship, Canada must embark on its true destiny, it is important to ask a few questions. Should Canada in the future be a country of yellows, blacks, Semites and bastardized crossbreeds, or should it be a country of whites? I believe the answer is beyond doubt in the mind of any true Canadian. It is not a question, in principle, of declaring inferior a race that is not white, but simply of the national future and the protection of the national race. We conceive and admit that a Canadian cannot and should not become mayor of Tokio, or chief of a Zulu tribe, or prime minister of Palestine, or even that, as a Canadian, he is at liberty to cancel the vote of a Turk in Turkey. The Jew remains stubbornly Jewish, and yet we let him have a deliberative voice in our national councils; the Negro, even if he wants to assimilate, remains no less a Negro, and the fact that a Negro could, by extraordinary means, become mayor of Montreal or Toronto, would nonetheless be an unnatural fact, from the national point of view.

Devant la création d’une citoyenneté nationale, la question de race se pose.  Il faut la trancher résolument.  Et nous estimons que c’est à nous, les races-mères de ce pays, de trancher la question, et non aux nouveaux-venus non-aryens qui n’ont pris aucune part aux sacrifices d’organisation de ce pays.  Juifs, noirs et jaunes ne pourront pas alléguer qu’on leur fait une injustice en leur enlevant ce dont ils jouissent, car la citoyenneté n’existe pas encore.  Ils ont la sujétion britannique, ils la garderont ; elle leur assurera la protection de leurs personnes et de leurs biens honnêtement acquis, mais ne leur assurera pas le droit de dire comment nous devons régler nos affaires dans notre pays.  En ce qui concerne la race indienne indigène, nous considérons qu’elle est ici chez elle, qu’elle a des droits sacrés et inaliénables, et que la citoyenneté ne pourra être refusée à tout Indien émancipé.

The creation of a national citizenship raises the question of race. It must be resolutely resolved. And we believe that it is up to us, the mother-races of this country, to decide the question, and not to non-Aryan newcomers who have taken no part in the sacrifices of organizing this country. Jews, blacks and yellows won’t be able to claim that an injustice is being done to them by taking away what they enjoy, because citizenship doesn’t yet exist. They have British subjection, they will keep it; it will assure them the protection of their persons and their honestly acquired property, but it will not assure them the right to say how we should regulate our affairs in our country. As for the native Indian race, we consider that they are at home here, that they have sacred and inalienable rights, and that citizenship cannot be denied to any enfranchised Indian.

Ajoutons, sur cette question de races, les considérations suivantes :  Le Parti National Social Chrétien considère la nation canadienne comme une entité organique qui doit rester maîtresse de son sort politique, social et économique ; qu’il ne sera permis à aucun groupe non-aryen d’y accaparer une influence exagérée pouvant mettre en péril la sécurité politique, sociale et économique des citoyens ; que le numerus clausus (quota des races non-aryennes) sera appliqué partout et chaque

On this question of race, let us add the following considerations: The National Social Christian Party considers the Canadian nation as an organic entity which must remain master of its political, social and economic destiny; that no non-Aryan group will be allowed to monopolize an exaggerated influence which could jeopardize the political, social and economic security of its citizens; that the numerus clausus (quota of non-Aryan races) will be applied everywhere and whenever

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